L’espèce humaine est un voisin bruyant qui laisse la lumière allumée toute la nuit et libère dans l’environnement de nombreuses substances chimiques odorantes. Même non toxiques, ces productions interfèrent avec les processus sensoriels et cognitifs qui permettent aux organismes de communiquer, d’exploiter leur milieu, ou d’éviter les prédateurs.
Comment cette pollution sensorielle agit-elle précisément sur la faune et la flore sauvages ? Que peut-on faire pour l’atténuer ?
Un article, dans the Conversation, de Michel Renou, directeur de recherche INRAE.
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