8 mars JIDF

iEES les femmes !

A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes le 8 mars, des femmes de iEES Paris ont souhaité partager leurs activités effectuées au sein de notre institut.

2022

Alice Ardichvili

Alice ARDICHVILI

Doctorante Sorbonne Université des équipes EERI et EMS du département DCFE

“Je fais des modèles théoriques pour comprendre l’évolution des plantes leurs interactions avec les microorganismes du sol, et comment cela influence le cycle de l’azote.”

alice.ardichvili@etu.sorbonne-universite.fr

Juliette BIROT

Stagiaire en M2 dans l’équipe EMS du département DCFE.

“Je travaille sur l’interaction toiture végétalisée/panneaux photovoltaïques et j’étudie plus particulièrement les effets de ce type d’installation sur l’entomofaune pollinisatrice. 

Une partie de ce travail se fait sur le terrain, où je participe aux relevés botaniques et faunistiques et l’autre partie se fait au laboratoire, où j’analyse les données déjà récoltées sur les dernières saisons.”

Dominique LAMY

Enseignante à Sorbonne Université et chercheuse dans l’équipe CoMiC du département DCFE

“Je suis chercheuse à iEES Paris, et enseignante à la Faculté des Sciences de Sorbonne Université.

En recherche, j’étudie la diversité des microorganismes (bactéries, archées) et leurs rôles dans le fonctionnement des écosystèmes aquatiques (océan ouvert, zones côtières, lacs,…). En particulier, je m’intéresse à comprendre comment ces rôles et cette diversité microbiennes varient sous pression anthropique (eutrophisation, apports massifs de matière organique suite à des crues, par exemple), et quelles sont les conséquences de ces variations sur l’écosystème.

En enseignement, je m’adresse à des étudiants de Licence et de Master sur le campus de Jussieu, notamment en biostatistiques et en écologie (générale, marine et microbienne).”

? https://iees-paris.fr/annuaire/lamy-dominique/

Clotilde BIARD

Maître de Conférences Sorbonne Université et chercheuse dans l’équipe EPE du département EcoEvo.

Elle enseigne l’écologie et l’écologie évolutive en Licence et Master, et les statistiques en Master. Ses recherches en écologie évolutive et écophysiologie portent principalement sur les effets maternels, les relations hôtes-parasites, la sélection sexuelle et le développement de signaux colorés, dans un contexte de changements globaux (réchauffement climatique et urbanisation). Ses modèles d’étude sont le plus souvent des oiseaux (mésanges bleue et charbonnière notamment).

clotilde.biard@upmc.fr

Amandine HECQUET

Technicienne Sorbonne Université de l’équipe EMS du département DCFE.

Dans le cadre d’un projet sur les cyanobactéries, je viens en soutien technique et analytique. Après une campagne de terrain de plusieurs mois sur différents lacs d’Ile de France, je suis désormais en charge d’effectuer les analyses biomoléculaires des échantillons récupérés et d’en traiter les résultats.

amandine.hecquet@sorbonne-universite.fr

Clarisse RODRIGUEZ

Stagiaire en M2 dans l’équipe EMS du département DCFE, étudiante à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour.

Elle analyse les communautés microbiennes des écosystèmes Arctique et Subactrique sous la contrainte de la fonte du permafrost.

Fatima EL MEKDAD

Doctorante Sorbonne Université en 3ème année de thèse de l’équipe BioDIS du département DCFE.

J’étudie la rhizodéposition de carbone dans le sol en comparant deux variétés de blé pour comprendre comment la différence de la morphologie racinaire peut améliorer le stockage du carbone dans le sol. Je regarde également s’il y a un lien entre différence de rhizodéposition et minéralisabilité du carbone rhizodéposé dans le sol profond.

? https://iees-paris.fr/annuaire/el-mekdad-fatima/

Femmes au département ECOSENS de Versailles

Les objectifs généraux du département EcoSens sont de comprendre comment les insectes perçoivent leur environnement chimique et comment les variations phénotypiques et génotypiques leur permettent d’adapter leur comportement à un environnement complexe et changeant, à des échelles de temps allant de la plasticité phénotypique aux changements évolutifs.

Le département intègre toutes les dimensions de la communication chimique chez les insectes, développant des approches du gène au comportement tout en prenant en compte l’écosystème, ceci dans un contexte adaptatif. Nos principaux modèles sont les papillons de nuit.

? https://iees-paris.fr/linstitut/departements-et-equipes-scientifiques/departement-ecologie-sensorielle-ecosens/

De gauche à droite, rang du haut :

Marie-Christine François : TR INRAE

Biologie moléculaire

Alizée Delarue : césure AgroCampus

Electrophysiologie

Zibo Li : Doctorante CSC-ParisTech

Evolution des récepteurs chimiosensoriels

Maud Lourenço : AI INRAE

Analyses physico-chimiques des odorants de betteraves

Anjélica Leconte : doctorante INRAE/Compagnie des Amandes

Olfaction du ravageur de l’amandier Eurytoma amygdali

Caroline Suray : technicienne INRAE

Analyses comportementales

De gauche à droite, rang du bas :

Emmanuelle Jacquin-Joly : DR INRAE, Responsable du département (@EmmaJoly8)

Mécanismes moléculaires de l’olfaction et de la gustation

Camille Meslin: CR INRAE (@CamilleBurgh)

Evolution des récepteurs chimiosensoriels, génomique comparative et transcriptomique

Elodie Demondion : TR INRAE

Electrophysiologie et biologie moléculaire, responsable qualité

Christelle Monsempès : AI INRAE

Biologie moléculaire, électrophysiologie, assistante de prévention

Marie-France DIGNAC

Directrice de recherche INRAE de l’équipe CoMiC du département DCFE.

Elle cherche à connaître les processus contrôlant la dynamique et les transformations des matières organiques dans les sols en caractérisant leur composition chimique. Elle étudier les effets des pratiques agricoles, du changement climatique, des organismes du sol comme les vers de terre, des pollutions des sols par les microplastiques sur ces processus.

marie-france.dignac@inrae.fr

Mélissa BAKHOS

Stagiaire en M2 dans l’équipe CoMiC du département DCFE.

Dans le cadre de son stage de Mélissa Bakhos, étudie l’accumulation de carbone dans les sols sur les zones humides côtières (appelée carbone bleu) due à l’effets de l’exposition au sel des marais salants.

Femmes du pôle administratif

Toutes les 4 sont membres du pôle administratif de iEES. Elles ont un rôle important de soutien à la recherche.

Carole Bousquet, adjoint technique Sorbonne Université, Véronique Marciat, technicienne Sorbonne Université et Johana Azzi, technicienne CNRS ont en charge la gestion comptable et financière de l’ensemble de l’UMR. iees_paris-gestion@listes.upmc.fr

Julie Legoupi, assistante ingénieure CNRS est chargée de la communication externe de l’institut (site web, réseaux sociaux, événementiel).

? https://iees-paris.fr/institut/services-administratifs/

Fatima GARCIA IBARRA

Doctorante CONACyT et IRD dans l’équipe ESEAE et FEST des départements EcoEvo et Sols_ZC.

“Je suis une doctorante mexicaine et mon projet est intitulé « Modification de la diversité des fourmis par les changements climatiques. Conséquences sur la dynamique des sols et de l’eau »

Le but de ce projet est d’évaluer comment les fourmis, importants et souvent négligés bioturbateurs de sols, sont affectées par l’augmentation de la température, les stratégies qu’elles comportent pour surmonter le changement climatique et si ces modifications ont à leur tour un effet sur les propriétés des sols et la dynamique de l’eau.

Mon projet est soutenu par le Conseil National des Sciences et de la Technologie (CONACyT, Mexique) et par l’Institut de Recherche pour l’Environnement (IRD, bourse ARTS, France).”

fatima.garcia_ibarra@sorbonne-universite.fr


2021

Chloé CHABAUD

Doctorante en 2ième année entre le Centre d’Etudes Biologiques de Chizé – CEBC CNRS ULR et IEES Paris


“J’étudie les effets de la déshydratation sur l’alimentation et le risque de prédation du lézard vivipare, un Lacertidae présent en France dans les zones humides. Pour cela je réalise des expériences en laboratoire sur des lézards issus de populations semi-naturelles au CEREEP Ecotron IleDeFrance.”

? https://iees-paris.fr/annuaire/chabaud-chloe/

Christel Bouet

Chargée de Recherche IRD.

“J’étudie l’érosion éolienne des sols dans les régions arides et semi-arides africaines en combinant des mesures de terrain et la modélisation numérique. L’érosion éolienne est un phénomène naturel qui se produit lorsqu’un vent suffisamment fort souffle sur un sol meuble peu ou pas couvert, ce qui libère des particules fines dans l’atmosphère que l’on appelle couramment « poussières désertiques ». Ces poussières représentent pour les régions où elles sont émises une perte en sol (et en éléments nutritifs qui sont contenus dans ces sols). A long terme, l’érosion éolienne peut donc dégrader les sols et limiter le développement de la végétation. En plus de la variabilité climatique, l’action de l’ homme dans les régions que j’étudie (via, par exemple, l’extension des champs au détriment des savanes) a amplifié ce phénomène. C’est pourquoi le projet de recherche que je développe à l’IRD vise à évaluer comment les modifications d’usage des terres (mise en culture, changement des pratiques agricoles…) et les évolutions attendues du climat (via des variables comme les précipitations, la température, la vitesse du vent…) influencent (ou influenceront) l’érosion des sols sous l’action du vent en zones semi-arides afin de proposer et/ou d’évaluer des stratégies de gestion des surfaces agricoles mieux adaptées au regard de l’érosion éolienne.

Crédit photo : Christian Lamontagne

? https://iees-paris.fr/asolnnuaire/bouet-christel/

Dominique Lamy

Maître de Conférences de la Faculté des Sciences de Sorbonne Université.

“Mon travail de recherche vise à comprendre le fonctionnement des écosystèmes aquatiques, en ciblant le rôle et la diversité des microorganismes qui y vivent. Mes activités d’enseignement concernent principalement les biostatistiques et l’écologie (générale, marine et microbienne), pour des étudiants de Licence 2 à Master”

? https://iees-paris.fr/annuaire/lamy-dominique/

Christelle Monsempès

Assistante ingénieure INRAE.

“Je travaille au sein du département EcoSens de IEES Paris sur le site de Versailles. Je m’intéresse au codage des neurones olfactifs d’insectes (papillons de nuit) ainsi qu’aux gènes impliqués dans les mécanismes d’olfaction. Pour ces études, j’utilise des techniques d’électrophysiologie, de biologie moléculaire et de bioinformatique.
La photo me représente en train de stimuler des neurones d’antennes d’un papillon de nuit par des phéromones.

? https://iees-paris.fr/departements/ecologie-sensorielle/

Aditi VIJAYAN

Stagiaire M2 de recherche INRAE.

“Je viens de Bengaluru, en Inde, étudiante à Université Paris Dauphine – PSL. Je m’intéresse à comprendre comment les insectes perçoivent un mélange phéromonal. Cette étude contribuera à la fabrication de pièges à insectes respectueux de l’environnement pour protéger nos plantes alimentaires.”

? https://iees-paris.fr/departements/ecologie-sensorielle/

Emma Rochelle-Newall

(avec Mr Hamidou Koudougou, Microbiologiste, Direction régionale de la santé du Centre-Est, Burkina Faso et le Dr. Hedwige Nikiema, Enseignemente-Chercheur à l’UMR LERMIT, Université Joseph Ki-Zerbo, Ouagadougou, Burkina Faso)

Directrice de Recherche à l’IRD.

“Un aspect récent de mon travail concerne l’étude des bactéries indicatrices fécales dans les écosystèmes aquatiques. Je commence également à examiner d’autres pathogènes bactériens dans le but de comprendre comment la dégradation de l’environnement altère l’écologie de ces microbes. En croisant notre compréhension de l’écologie microbienne avec la géographie de la santé humaine, nous pouvons progresser vers une meilleure compréhension des risques et des vulnérabilités auxquels sont confrontées les populations humaines exploitant les ressources hydriques.”

? https://iees-paris.fr/annuaire/rochelle-newall-emma/

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