Plus d’une vingtaine de laboratoires français ont entamé une démarche de diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils viennent de dresser un premier bilan de cette initiative.
Lire la suite / Read morePlus d’une vingtaine de laboratoires français ont entamé une démarche de diminution de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ils viennent de dresser un premier bilan de cette initiative.
Lire la suite / Read moreLa COP 15 désertification s’est tenue à Abidjan, en Côte d’Ivoire, du 9 au 20 mai sur le thème : “Terre. Vie. Héritage : de la rareté à la prospérité”. L’IRD était présent à cet événement d’envergure à travers de multiples présentations scientifiques et un stand mutualisé avec deux partenaires, le Comité scientifique français de la désertification (CSFD) et le Centre d’actions et de réalisations internationales (CARI). Avec un objectif : œuvrer ensemble pour une gestion durable des terres, pour des impacts et termes de protection du climat, équité sociale, restauration de la biodiversité. iEES Paris y était représenté par Oumarou Malam Issa DR IRD.
« Odorat des insectes », voici le titre du dernier article de Loïc Chauveau paru dans le numéro « Sciences et Avenir-La Recherche » du mois du mai n°903 (pages 55-58). L’article décrit les approches d’écologie chimique, classique et inverse, menées pour contribuer au biocontrôle des insectes ravageurs.
En septembre 2021, la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB) a organisé un colloque d’une journée sur les “changements transformateurs.” Sur quels leviers appuyer pour espérer voir une vraie transformation ? Retour sur le résumé de cette journée réalisé par Médiapart et en particulier sur la présentation de Sébastien Barot DR IRD à iEES Paris.
Ils sont chercheurs, certains appartiennent au Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) ou au Haut Conseil pour le climat, et ils regrettent l’absence de débats sur la crise climatique et environnementale dans la campagne présidentielle. 1400 scientifiques interpellent les candidats et les médias pour qu’ils s’emparent de ces sujets décisifs pour notre avenir.
Lire la suite / Read moreDans le cadre de la COP26 qui se tient à Glasgow jusqu’au 12 novembre, Futura vous propose une série d’entretiens avec des experts du climat pour décrypter le réchauffement climatique en cours, ses causes et ses conséquences, les risques auxquels nous devrons faire face si nous ne parvenons pas à maîtriser la hausse des températures et à ne pas dépasser les 1,5 °C, les solutions qui existent et celles à mettre en place. L’urgence climatique n’est pas un vain mot !
Aujourd’hui, nous donnons la parole à Cornelia Rumpel, chercheuse du CNRS à l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris qui étudie les mécanismes qui permettent de stabiliser le carbone dans les sols..
Rencontre avec Thomas Tully, enseignant-chercheur à Sorbonne
qui s’intéresse à la sénescence, c’est-à-dire le vieillissement et ses conséquences sur une espèce rare, la vipère d’Orsini. Et pour cela il s’appuie sur le travail colossal et unique en son genre de Jean-Pierre Baron, herpétologue et enseignant en biologie, qui a étudié, capturé et marqué ces vipères pendant plus de 37 ans.
Comment mesurer et réduire l’empreinte carbone des laboratoires de recherche ? Quels sont les objectifs de l’initiative “Labos 1point5” ? Rencontre avec Tamara Ben-Ari, chercheuse de l’INRAE, co-porteuse du projet.
L’espèce humaine est un voisin bruyant qui laisse la lumière allumée toute la nuit et libère dans l’environnement de nombreuses substances chimiques odorantes. Même non toxiques, ces productions interfèrent avec les processus sensoriels et cognitifs qui permettent aux organismes de communiquer, d’exploiter leur milieu, ou d’éviter les prédateurs.
Comment cette pollution sensorielle agit-elle précisément sur la faune et la flore sauvages ? Que peut-on faire pour l’atténuer ?
Un article, dans the Conversation, de Michel Renou, directeur de recherche INRAE.
Marie Belin, doctorante de l’équipe EERI et EMS, en charge du projet “Mon toit vert et solaire” basé à Rungis a participé à un reportage de la Caisse des Dépôts et Consignations pour mettre en avant les actions prises par la CDC Biodiversité et promouvoir son sujet de thèse. Le but de ce projet est de mieux comprendre quels sont les bénéfices mutuels entre végétal et photovoltaïque.