A la COP15 de Montréal sera présenté le nouveau cadre mondial pour la prochaine décennie. Il sera négocié par les gouvernements des 196 États membres de la CDB dans le but de prendre les mesures nécessaires pour préserver la biodiversité en danger.
A la COP15 de Montréal sera présenté le nouveau cadre mondial pour la prochaine décennie. Il sera négocié par les gouvernements des 196 États membres de la CDB dans le but de prendre les mesures nécessaires pour préserver la biodiversité en danger.
Les experts venus de 36 pays du monde cherchent une solution à la problématique de la sècheresse. Un congrès sur la production des plantes dans les zones arides et semi-arides a débuté le 28 novembre à Dakar.
Une équipe internationale d’une centaine de scientifiques, coordonnée par INRAE, le CNRS et l’Université d’Alicante (Espagne), a mené une première étude mondiale afin d’évaluer l’impact du pâturage sur les écosystèmes arides de la planète, où se situent 78 % des parcours. Leurs résultats, publiés le 24 novembre dans la revue Science, montrent que le pâturage est bénéfique sous des climats relativement froids, et dans des zones géographiques montrant une forte biodiversité animale et végétale. À l’inverse, ces effets deviennent largement délétères dans les régions plus chaudes de la planète et pauvres en biodiversité. Les conclusions de cette étude peuvent contribuer à développer une gestion plus durable des pâturages, ainsi qu’à établir des actions de gestion et de restauration efficaces visant à atténuer les effets du changement climatique et de la désertification.
La perte de fertilité des sols est un processus majeur de dégradation menaçant la nutrition et est reconnue comme étant parmi les problèmes les plus importants au niveau mondial pour la sécurité alimentaire et la durabilité tout autour du globe. Pour cela la journée mondiale des sols est l’occasion de mettre en avant les services essentiels que le sol rend et son rôle clé pour les écosystèmes.
Depuis les années 2010 en France, les vers plats (Plathelminthes terrestres) font l’objet d’une attention particulière. Introduits par l’intermédiaire de plantes exotiques en pots, certaines espèces de vers plats prolifèrent dans les jardins et jardineries et sont décrites comme une menace pour la biodiversité des sols envahis. Si l’on sait aujourd’hui que les vers plats sont des prédateurs de la faune terrestre (mollusques, vers de terre ou insectes, selon les espèces), leur impact écologique réel est encore largement méconnu.
Lorsqu’on mentionne le Sahel aujourd’hui, cette région africaine semi-aride entre le Sahara et l’Afrique soudanienne est souvent associée à la notion de désertification. Mais qu’en est-il au juste ? Que nous disent les dernières avancées en sciences environnementales quant à cette désertification ? Dans quelle mesure le « récit » de la désertification du Sahel s’appuie-t-il sur des résultats scientifiques, ou sur d’autres mécanismes, d’ordre plus politique ?
Lire la suite / Read moreDécouvrez toutes les participations de iEES Paris à la fête de la science 2022 du 14 au 16 octobre.
Grandes écoles et enseignement supérieur, quel dispositif faut-il déployer pour former enseignants et étudiants aux défis climatiques et environnementaux ?
Emmanuelle d’Alençon (UMR DGIMI, Montpellier) et Emmanuelle Jacquin-Joly (UMR iEES Paris CReA -EcoSens, Versailles) ont eu le plaisir d’organiser le 11eme workshop international sur la biologie moléculaire et la génomique des Lépidoptères.
L’institut d’écologie et des sciences de l’environnement (iEES Paris) basé à l’Université de la Sorbonne à Paris utilise le système de surveillance continue Vaisala pour enregistrer les données en temps réel et contrôler la température et l’humidité des chambres utilisées pour l’élevage et l’expérimentation d’insectes.
Lire la suite / Read more