Les cyanobactéries sont de plus en plus contrôlées face au danger qu’elles représentent lorsqu’elles prolifèrent trop, notamment dans certains plans d’eau d’Ile-de-France, qui ont dû fermer les activités nautiques au public.
Les cyanobactéries sont de plus en plus contrôlées face au danger qu’elles représentent lorsqu’elles prolifèrent trop, notamment dans certains plans d’eau d’Ile-de-France, qui ont dû fermer les activités nautiques au public.
A la suite de la mise à jour de la liste d’espèces « susceptibles d’occasionner des dégâts » par le gouvernement, l’écologue Nicolas Loeuille rappelle, dans une tribune au « Monde », qu’un tel classement repose sur une vision utilitariste de la nature et ne prend pas en compte la complexité des interactions entre les différents animaux.
La participation de Fátima Garcia Ibarra et de Pascal Jouquet de l’équipe FEST et ESEAE dans le Science & Vie Hors série du mois de juillet.
En avril 2023, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a trouvé des substances jamais identifiées dans l’eau potable de 300 sites de captage en France, notamment un résidu de pesticide interdit, le chlorothalonil.
Jean-François Humbert, DR INRAE de l’équipe CoMiC du département DCFE répond aux questions de France Inter.
Comment l’eau est-elle retenue dans le sol ? Comment en repart-elle ? Peut-on fabriquer un sol artificiel pour revégétaliser les villes ?
Dans le cadre de « Un chercheur une manip », l’IRD a proposé un voyage fantastique dans les entrailles du sol pour répondre à ces questions.
Des chercheur·euses de l’Institut Sénégalais de Recherches Agricoles (ISRA), du Laboratoire Interuniversitaire des Systèmes Atmosphériques (LISA) du Centre National de la Recherche Agronomique (CNRA) et de l’institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris (iEES-Paris) ont comparé dans un article publié dans Aeolian Research, l’érosion et l’érosivité des vents entre l’ouest du Sahel et le Sahel central. Ces études permettront d’adapter des mesures de préservation de la fertilité des sols en fonction de la saison et de la localisation des sols au Sahel.
Les termitières des rizières cambodgiennes procurent de multiples bénéfices bien connus des habitants du bassin inférieur du Mékong. Des scientifiques de l’IRD et de l’Institut de technologie du Cambodge (ITC) ont quantifié ces îlots de biodiversité et répertorié les différents services rendus. Leurs travaux sont publiés dans Soil use and management.
Lire la suite / Read moreMarie-France DIGNAC, DR INRAE de l’équipe CoMiC du département DCFE a apporté un éclairage scientifique sur l’ampleur et les effets de la pollution plastique des différents milieux auprès du GDR Polymères et Océans et du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires.
Un étude dans Biological Reviews dirigée par des chercheurs de l’Institut d’écologie et des sciences de l’environnement de Paris, de L’Institut de Systématique, Évolution, Biodiversité et du Centre d’Écologie et des Sciences de la Conservation fait la synthèse des connaissances publiées sur le mimétisme mullérien au sein guêpes aculéates et abeilles. Elle met en avant que les aculéates pourraient être l’un des groupes d’organismes mimétiques les plus diversifiés et que la diversité de leurs interactions mimétiques est actuellement sous-explorée.
COMMUNIQUE DE PRESSE – Des scientifiques d’INRAE et de Sorbonne Université, en collaboration avec l’Institut de protection des plantes de Pékin, ont retracé l’évolution d’un récepteur olfactif spécifique de la noctuelle du coton, un papillon ravageur de cultures. Indispensable pour la reproduction du papillon, ce récepteur permet aux mâles de reconnaître le composé essentiel de la phéromone sexuelle de la femelle. Les scientifiques ont pu retracer le parcours évolutif de ce récepteur apparu il y a environ 7 millions d’années et ont identifié 8 acides aminés essentiels pour la liaison entre le récepteur et la phéromone. Leurs résultats, publiés le 8 mai dans la revue PNAS, ouvrent de nouvelles perspectives pour le développement de stratégies de biocontrôle contre ce papillon ravageur.